Limiter le nombre de touristes c'est facile à dire..

Et je ne vois pas trop comment ça pourrait être possible. Genre limiter le nombre de personnes qui arrivent par jour en fonction du nombre de personnes qui sont parties la veille.. Et quand les gens arrivent, si le quota est dépassé on dit aux gens qu'ils doivent rentrer sur le continent à la nage ? Alors même qu'ils ont réservé un hôtel et que sais-je d'autres ?

Ou alors forcer les gens à réserver leur transport aller et retour en bateau (et donc du coup les forcer à avoir réserver un hébergement) pour pouvoir appliquer des quotas ? Difficile aussi quand on sait comment le marché des traversiers est partagé (en concurrence) et que les gens peuvent arriver de Chumphon, Koh Phangan, Koh Samui ou Surat Thani.

Ou alors limiter non pas le nombre de touristes, mais limiter les infrastructures d'hébergements (diminuer le nombre de lits) et obliger les gens à avoir une réservation d'hôtel pour prendre le bateau direction Koh Tao. Mais là aussi, quid des no-show ? quid de la répartition entre les hôtels ? Plutôt ingérable. Ils pourraient carrément raser des hôtels mais pourquoi en raser un plutôt qu'un autre..

Ou alors une taxe à l'arrivée à Koh Tao, pour financer le traitement des déchets (et aussi une taxe pour les résidents qui ne payent pas de taxe :). Mais tout ça n'a d'intérêt que lorsque les taxes arrivent dans les bonnes poches.

Par contre pour le coup de la nourriture thai dont tu parle Robert, je vois pas ce que tu veux dire, parce qu'à Koh Tao, à ma connaissance, que la nourriture soit thaï ou pas, elle est importé du continent.

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